07 mars 2007

Rengaine de la rupture


Après 3 jours de silence radio, mademoiselle a daigné refaire surface et me fournir par email dans un grand élan de magnanimité, quelques explications quant à son revirement.

Morceaux choisis :

"Tu te demandes ce qui s'est passé ? J'ai suivi mon feeling comme tu me l'as toujours si bien dit".

"J'ai eu peur, je ne me sens pas prête immédiatement à être en couple".

"Autant je suis bien avec toi, en ta présence, autant je suis bien seule".

"J'avance, mais je recule assez vite".

"Écoute, la vie continue pour toi et tu mérites tellement. Tu es quelqu'un de tellement hot....tellement gentil, humain, drôle.....sérieusement, tu me manques. Mais pour l'instant je n'y peux rien"

"Je suis mêlée et ca me fait chier de me sentir de même et de te faire ca, tellement là".

"Je ne regrette rien de ce que j'ai vécu avec toi, je l'ai vécu pleinement".

"Tu en vaux la peine ......tellement là!!!!!!!! Tes emails me manquent...".

"Loin de moi l'idée de te faire de la peine, mais dans la vie y'a des moments qui sont inévitables. Dis-toi bien que je ne me sens pas mieux non plus".

Franchement, c'est moi, ou c'est toujours la même rengaine ?

04 mars 2007

Notes à moi-même pour plus tard.


1. Quand une femme veut te faire rencontrer ses parents au bout de 3 semaines de fréquentation : fuis.

2. Quand tu rencontres une femme qui sort tout juste d'une rupture : fuis.

3. Quand une femme te dit que vivre à tes côtés est incroyablement simple : fuis.

4. Quand les ex ou prétendants sont trop présents dans la vie d'une femme : fuis.

5. Quand une femme prend toutes ses décisions en consultant ses amies, son entourage et sa famille : fuis.

6. Quand une femme essaie de te convaincre à chaque jour qu'elle est bien avec toi, stable émotionnellement et que tout va bien : fuis.

7. Quand tu fais l'amour à une femme et qu'ensuite elle ne veut pas que tu la vois nue : fuis.
Allez, courage, fuyons !

03 mars 2007

Partie de Poker

Il y a peu, je vous parlais de ma nouvelle dame de coeur, une ex-collègue de bureau.

Ce matin, nous devions partir à Québec rencontrer son père.

10h. Mon tél sonne.

- Allo, Azerty ?
- Ouais.
- Tu fais quoi ?
- J'allais me mettre en route pour passer te prendre.
- Euh... faut que je te parle.
- Vas-y.
- Euh... en fait, j'ai besoin de réfléchir, de prendre mon temps...
- ??
- de clarifier mes sentiments.
- OK... ben...
- T'es fâché ?
- Que veux-tu que je te dise ? Je t'ai déjà dit plusieurs fois ces derniers jours que tu ne semblais pas avoir les idées très claires et ce, bien que tu m'assures le contraire. Prends ton temps. Si tu décides de reprendre, p't-être que je serai là... ou pas. Bon week-end. A+
*clic*

Je pourrais être fâché, déçu, surpris et finalement... ben non... J'avais écrit il y a plusieurs mois que la girouette était québécoise. Plus rien ne me surprend.

J'ai finalement eu une confirmation. Ma dame de coeur n'était finalement qu'un 2 de pique. Cette fois-ci, je pose mon Joker et passe mon tour. La prochaine donne sera sans doute meilleure.